Ouvrages

Collection France Positive chez Flammarion

Les ouvrages de cette collection visent à constituer une bibliothèque utile à tous, abordant des thèmes cruciaux pour notre avenir. Cette collection est dirigée par Julie Martinez, directrice générale de France Positive, et Diana Filippova, romancière et essayiste. Huit à dix livres brefs et pédagogiques d’une centaine de pages seront publiés par an. Des outils de pensée qui visent à valoriser des initiatives, des idées et des réflexions contribuant à un débat public apaisé et constructif.

Julie Martinez

IA et fake news

Sommes-nous condamnés à la désinformation ?

Préface : Jacques Attali

« Si les fake news alimentées par l’IA ne sont pas responsables, à elles seules, de la crise que connaît notre démocratie, elles pourraient bien être l’arme qui lui porte un coup fatal. »

Florian Guyot

La fabrique des précarités

A-t-on abandonné la fraternité ?

 

« Il faut être particulièrement prudent lorsque l’on cherche à assigner les personnes précaires à un statut bien souvent fait de préjugés. Car on n’est pas pauvre seul, on l’est dans une société qui fabrique cette pauvreté. »

Aude Kerivel

Protéger l'enfance

Tenir notre promesse aux enfants

Préface : Jacques Attali

« La protection de l’enfance traverse une crise inédite qui ne pourra se résoudre sans mesures fortes. Il est temps de reconnaître les compétences des professionnelles de terrain et leur indispensable rôle au sein de notre société et auprès des enfants. »

SOUS LA DIRECTION DE JACQUES ATTALI

FAIRE RÉUSSIR LA FRANCE

Quelle France dans 10, 20, 50 ans ? Qu’est-ce que chacun de nous peut faire pour qu’elle soit, bien plus encore qu’aujourd’hui, un pays où ses habitants sont heureux, libres, paisibles, confiants, tolérants, pour que la France soit prospère, fière de son identité, ouverte au monde et donnant sa chance à chacun de ses habitants ?

Pour y réfléchir, nous n’attendons pas grand-chose d’une campagne présidentielle qui s’annonce une fois de plus comme une confrontation de personnalités et non comme un débat sur des programmes et encore moins des projets.

De plus, il n’appartiendra pas seulement au prochain président de la République de mettre en œuvre ces réformes, mais à chacun de nous.